Monsieur Dubos se pose aujourd’hui en victime du MRAP. Pour réceptacle de sa « solitude » (toute relative car il reçoit le soutien du marigot d’extrême-droite) il a choisi Boulevard Voltaire de Robert Ménard le maire de Béziers !.

Le registre choisi est celui de la victimisation, Alain Dubos serait victime des censeurs du MRAP qui voudrait l’empêcher de vendre ses livres. Absurde ! L’écrivain landais n’entre pas dans le champ de compétence du MRAP. Que Monsieur Dubos vende ou ne vende pas ses ouvrages régionaux cela ne concerne pas le MRAP qui n’a pas vocation à être critique littéraire.
http://www.bvoltaire.fr/alaindubos/piece-de-theatre-annulee-dedicaces-empechees-le-mrap-fait-sa-loi,288572

Seul le plumitif d’extrême-droite intéresse le MRAP et c’est toute une partie de son œuvre sur les sites du marigot de la haine raciste que nous avons fait connaître.

La comédie de l’oisillon blessé réfugié dans le nid de vautours de Monsieur Ménard n’abusera personne.

Monsieur Dubos n’est pas une victime, c’est lui qui blesse les autres, les musulmans, les roms, des hommes et femmes politiques, des journalistes, écrivains, ecclésiastiques par des propos orduriers racistes et xénophobes.

L’homme qui écrit ce qui suit (parmi des dizaines de déjections épistolaires similaires) n’est pas une victime, sinon de lui-même.

Florilège de saillies haineuses parmi des centaines

à propose des musulmans : « La République offre à ce chiendent son sourire bonasse .... elle s’allonge, cuisses écartées, contemplant, frémissante sous un léger voile de sueur, l’invité se déshabillant." …

à propos du journaliste Claude Askolovitch « De cette physiologie pour compresseur de viande halal sous cellophane émerge un constat clinique : Claude Askolovitch parle comme on défèque, dans la douleur, au déboulé de trop longues constipations. »

à propos de Christiane Taubira : "...« Madame de Thaubirat serait bien inspirée de s’embarquer à La Rochelle pour retrouver le fil un peu moîte à ce qui se dit des rus et rivières de sa jungle natale. »."
Fermez le ban !